Tout s’éclaire : l’utilité programmée du rôle de la diabolique loi Léonetti.

Qui ne le voit maintenant ? La loi du sirupeux Léonetti, douceureusement, hypocritement, abominablement présentée comme un texte, bien sûr « humaniste », visant à adoucir le passage à la mort par de suaves endormissements, était une immonde entourloupe.

En fait, on le voit bien, elle n’a été conçue que pour ne pas durer, pour n’être qu’une étape, pour susciter l’exigence d’une autre solution que le processus de la lente et cruelle mise à mort par déshydratation de ceux dont la planification sociétale a programmé l’élimination.

Les souffrances de Vincent Lambert servant à faire apparaître comme une solution bien plus humaine la piqûre létale. Dans cette ignoble manipulation le narcissique demi-neveu François Lambert a joué le triste rôle que ceux qui le manipulaient attendaient de lui : faire passer l’euthanasie pour une solution à la souffrance, la légitimer, la légaliser, la banaliser tout comme celle du meurtre par avortement.

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