Le premier élément révoltant dans la tuerie perpétrée par l’islamo-jihâdiste Khamzaï Azimov, avant même le fait que lui aussi était un « fichier S », français d’origine étrangère et non expulsé de notre pays, c’est qu’il ait été, comme tant d’autres, aussi vite « naturalisé français ».
Aussi les medias l’ont-ils d’abord présenté comme un terroriste de nationalité française. Vérité juridico-administrative en effet mais simultanément preuve de ce que le drame, comme tant d’autres, a eu pour cause déterminante l’idéologie droitdelhommesque et égalitariste de mépris du réel imprégnant notre droit.
Or la vérité première à rappeler, c’est que l’immense majorité des plus de cinquante mille Tchétchènes accueillis sur notre sol n’ont pas fui l’islamisme mais le régime anti-islamiste de Ramzam Kadyrov.
La deuxième, c’est que cette population est très massivement acquise à l’islam le plus radical.
La troisième, c’est que la Tchétchénie est une République de la fédération de Russie et que c’est à la Russie d’abord qu’il appartient de s’occuper des migrants tchétchènes.
Mais l’accablant pour l’État français, pour notre esprit des lois, pour nos administrations de gestion de l’immigration, et le tragique pour la France, c’est que l’idéologie antiraciste dominante y impose simultanément le déni de réalité et le refus du principe de précaution.
Pire encore, l’islamophilie régnante et le fréquent racisme antichrétien se conjuguent pour que ne soient pas mieux accueillis des chrétiens ayant fui la terreur jihâdiste que des migrants islamistes haïssant nos valeurs et notre identité.
Comment est-il possible que l’on ne prenne pas en compte ce que peut bien signifier d’être « naturalisé français » pour des Tchétchènes et autres ressortissants de peuples radicalement étrangers à tous les aspects et valeurs de notre patrie et de notre civilisation ?
On mesure sur cela la débilité de l’idéologie et des idéologues de la République universelle.
On peut aussi peser l’égale absurdité de l’antiracisme et du racisme. Les peuples du Caucase, Tchétchènes, Tcherkesses et autres sont en effet de race blanche. Et c’est ainsi que dans les harems turcs ou arabes et notamment en Jordanie, les femmes tcherkesses étaient les plus recherchées en raison de « la merveilleuse blancheur de leur peau… ».
Va-t-on enfin considérer que le dénominateur commun de presque tous les terroristes de notre temps, qu’ils soient ou non « fichier S », c’est qu’ils surgissent de populations irresponsablement accueillies chez nous dont, sauf exceptions rarissimes, l’immense majorité des membres issus des immensités islamiques, ne pourront ou ne voudront de sitôt s’intégrer dans une patrie et une civilisation dont ils ne savent à peu près rien et qu’ils méprisent ?
Le racisme islamo-jihâdiste tue mais n’est-ce pas l’idéologie antiraciste qui en aura développé le terreau ?