L’obligation dictatoriale de vaccination sans nuances imposée aux Français par celui qui mérite bien le sobriquet de Macronéron, appelle les réflexions suivantes :
-Certes pas plus que contre les vaccins de la rage, du tétanos, de la fièvre jaune, du pneumocoque et tant d’autres, on ne saurait être à priori hostile à ceux destinés à faire face à la pandémie covidienne et la vaccination massive des populations à risque ne peut donc être considérée que comme une mesure de bien commun dans laquelle le bénéfice l’emporte sur le risque.
-Mais la réticence d’un grand nombre de membres des professions de santé, nullement analphabètes sanitairement, laisse penser qu’ils peuvent légitimement n’être pas sûrs d’une innocuité totale.
Le mépris macronien pour ce libre choix et l’obligation de la vaccination qui leur est faite, sous la contrainte, relèvent d’un mode dictatorial de gouvernement.
-Plus révoltante encore est la pression macronienne digne des pires régimes totalitaires pour que la jeunesse et même les enfants de plus de douze ans, soient eux aussi vaccinés alors que leur population n’est atteinte qu’en proportion infinitésimale.
Mais la brutalité, l’arrogance, la suffisance du sieur Macronéron ne sont-elles pas comme révélatrices d’une malsaine satisfaction dominatrice ?
-Les mesures annoncées ne relèvent-elles pas alors d’un processus bien calculé de conditionnement totalitaire ?
-Mr Macron méprise l’interdiction de « l’obligation vaccinale » adoptée par l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. Celle-ci demande :
7.3.1 « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ; »
7.3.2 « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ; »
Angela Merkel, elle, s’est refusée au moins à imposer une obligation vaccinale tristement national-socialiste.
Enfin, quelle incroyable désinvolture chez Macronéron s’auto-décernant gaiement les lauriers d’une politique de rétablissement d’unités de production en France. Sans présenter des excuses aux Français pour avoir toujours dans ses fonctions précédentes professé des convictions inverses et s’être donc fait élire sur un programme d’abandon de nos entreprises au profit notamment de « la Chine, usine du monde ».