Assez de « couvre-feux », assez de confinements, mesures aux effets tragiques !

Qui ne le voit ? Les dégâts économiques et donc sociaux et donc humains, entraînés par les mesures d’enfermement des populations vont à l’encontre du but recherché.

Encore que, de plus en plus, on puissese demander quel est exactement le but de décisions bien plus totalitaires  que de justification sanitaire ?

En avançant de deux heures la mise des Français sous « couvre-feu », le gouvernement, à moins d’être totalement crétinisé, pouvait forcément se douter, comme nous l’avions aisément prédit, que cela n’aurait pour effet que des encombrements de circulation et de l’agglutination dans les surfaces commerciales. Rien de propice à la lutte contre l’épidémie !

Mais il suffit d’écouter quelques minutes la radio de la « propaganda-staffel » étatique pour vérifier que le couvre-feu n’est qu’une mesure préparatoire à une nouvelle période de confinement. Avec pour effet global l’accélération de la catastrophe multi-dimentionnelle frappant toute notre société.

Or il y a d’autres moyens de combattre l’épidémie que l’enfermement et la fermeture des lieux de vie et de socialisation, terrible pour la majorité des populations. On ne peut pas ne pas voir que toutes les mesures de la gouvernance macronarde vont dans le sens d’une monopolisation par le commerce « en ligne ».

Finies les boutiques, finies les devantures, finies les flâneries !

Comme finis les bistrots et les restos, ces piliers d’une société à visage humain.

L’explication de cette politique ne tient-elle pas dans les cinq mots-clés de la barbarie jacobine et socialiste et du néo-progressisme : « du passé faisons table rase ».

Comme Karl Marx et ses continuateurs bolcheviques, l’intelligentsia macronarde « bigbrotherienne » déteste les métiers libres, déteste tout ce qui n’est pas étatisé, planifié, bureaucratisé, contrôlé. Détestation idéologique encore de la famille naturelle, fondée sur le couple humain. Or l’épidémie coronarienne est devenue une opportunité pour une manipulation totalitaire des institutions de la République par le pouvoir macronéronien.

En revanche, les États n’ayant pas imposé de confinement (Corée du Sud, Suède) sont aujourd’hui beaucoup moins contaminés et demeurent dans leur prospérité économique et sociale ; et surtout ils conservent leurs libertés.

Il y a donc d’autres manières de combattre les agressions covidiennes que la politique d’enfermement dont on a suffisamment vérifié dans les EHPAD qu’elle est la plus meurtrière.

C’est certes l’utilisation judicieuse des masques en certaines circonstances de trop grande proximité et notamment dans des espaces clos. Pas dans les avenues battues par les vents ou sur les plages !

Ce sont surtout les prescriptions par les médecins des thérapies préventives et curatives sans attendre l’aggravation de la maladie. Quant à la défense par les vaccins, on ne saurait être contre dans son principe. Depuis celui contre la rage, les différents vaccins (polio, diphtérie, rougeole, variole, fièvre jaune, etc, etc…) ont sauvé un nombre incalculable de vies.

Pour l’heure, ce que l’on appelle le (ou la) covid (je ne sais) tue infiniment moins que la plupart de ces maladies.

On ne peut donc qu’éprouver quelque gêne devant certains aspects des massives propagandes en faveur de leurs injections.

Ainsi, y a-t-il quelque chose d’un peu comique dans l’acharnement à vacciner des nonagénaires ou même des quasi centenaires, de la reine d’Angleterre aux deux papes Benoît XVI et François. S’agirait-il des essais de vaccin contre la mort prochaine ?

On voudrait être sûr aussi que certains de ces vaccins, d’ailleurs à terme, inéluctablement concurrents, n’aient pas été trop vite mis au point avant d’être  lancés sur le marché.

Mais le plus grave ne réside-t-il pas pour l’instant dans l’hyper médiatisation obsessionnelle de la question vaccinale ?

Cela évite, il est vrai, de traiter des avancées des fabrications des armes nucléaires par certains pays. Et aussi… des armes bactériologiques dans des laboratoires tels que celui qui a peut-être laissé échapper le virus covidien. Et l’on n’a hélas toujours pas trouvé de vaccin anti-islamiste.  

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