La couverture de Charlie-Hebdo de cette semaine, immonde crachat sur le Christ en croix est une vomissure d’obsédé sexuel et scatologique.
Son auteur se glorifie d’avoir atteint les sommets de la dérision pornographique blasphématoire.
On imagine sans mal dans quel univers mental habite ce misérable.
Ce serait se ravaler à son niveau de putridité que de camper sa gueule dans une composition aussi infra-humaine.
Le personnage est évidemment un lâche. Il sait qu’il ne risque rien en offensant les catholiques. Car aujourd’hui encore, pareille abomination sur le prophète Mahomet déclencherait un tsunami d’indignation dans tout l’islam, pas seulement chez les jihadistes.
Certains nous diront que le blasphème, même au plus haut degré d’abjection, ne tombe pas sous le coup de la loi.
Mais l’atteinte au respect de la dignité humaine ne peut être sans limite.
Sur ma demande, nos avocats préparent dès aujourd’hui l’action judiciaire qui s’impose sur le fondement de la jurisprudence de la Cour Européenne des Droits de l’Homme.