À bas les abayas !

Bernard Antony, président de l’AGRIF, directeur de la revue Reconquête, communique :

Alors qu’après des mois de terrible répression du régime islamiste chiite, un grand nombre de femmes iraniennes, souvent soutenues par leurs frères et leurs maris, ont encore l’héroïsme de continuer à manifester pour exiger l’abolition des contraintes vestimentaires ;

Alors qu’en Arabie saoudite, jusqu’au plus haut de la hiérarchie religieuse sunnite, des voix s’élèvent pour que soit enfin admise la liberté pour les femmes de ne plus devoir dans l’espace public être enfermées dans ces sortes de sacs que sont les abayas noires ;

Chez nous en France, Pap Ndiaye étant ministre de l’Éducation Nationale, des élèves musulmanes sont de plus en plus nombreuses à se rendre ainsi accoutrées dans leurs collèges et y suivre les cours dispensés selon les cas par des enseignants complices, intimidés voire apeurés.

La pesanteur des Frères musulmans et autres organisations islamistes salafistes se fait ainsi de plus en plus sentir non seulement dans les territoires perdus pour la République mais désormais dans des écoles, collèges et lycées de plus en plus perdus pour cette laïcité si ministériellement sans cesse invoquée.

La France va ainsi progressivement mais sûrement au fil des années dépasser pour ce qui est de l’islamisation certains pays les plus soumis à la charia.

C’est là le résultat de l’effondrement sociologique d’une partie du christianisme et d’une laïcité principalement d’hostilité au catholicisme et propagatrice de la culture de mort « IVG-LGBTQ ».

Le redressement de la France, rongée par la déshumanisation spirituelle et culturelle de sa société, doit notamment passer par le renouveau de l’enseignement.

Pour cela s’impose une radicale refonte de son système scolaire.

Il faut à cette fin politiquement mettre en place la réforme dite du « chèque scolaire » permettant le choix et le financement par tous les parents des écoles et des scolarités adaptées à leurs enfants. De telle sorte que disparaisse la dialectique qui n’a que trop duré entre enseignement public et enseignement privé.

L’AGRIF, conformément à son souci primordial de défense de tous les Français quelle que soit leur race, si souvent injuriés et agressés parce que Français ; de défendre tous les chrétiens de plus en plus souvent menacés et frappés parce que chrétiens, poursuivra plus que jamais son combat de défense de l’identité française.

Celui-ci passe nécessairement par la reconstruction de l’école, une école libre pour tous.

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